Cet article concerne la Raie-méduse. Vous cherchez peut-être la Raie lapin, la Raie spectrale ou la Raie pourpre. |
La Raie-méduse est une espèce de faune passive qui vit principalement dans les Forêts des Arbres Champignons et l'Abysse des Grands récifs
Apparence
La Raie-méduse possède un corps translucide qui luit constamment. Elle a une queue longue et fine et six tentacules plus petites qui dépassent de chaque côté de son corps. La partie principale de son corps luit d'une teinte violacé et fait apparaître des motifs roses sur sa partie supérieure, le reste de la créature luit d'une couleur bleue.
La Raie-méduse possède six cercles de tailles variables sur chaque côté de son torse. Ces cercles pourrait éventuellement être ses yeux, cependant on ne connait pas réellement leur véritable utilité.
Comportement
Les Raies-méduses nagent sans but en traînant leurs tentacules derrières elles et en émettant des cris aigus.
Elles sont curieuses des lumières et examine n'importe quelle source de lumière proche d'elles.
Valeur énergétique
Entrée de la Banque de données
Cette espèce s'est adaptée aux environnements à faible luminosité avec un corps translucide et luminescent. 1. Corps luminescent 2. Sensibilité à la lumière Analyse : non comestible. |
Galerie
Notes
- Les cris des Raies-méduses ont été créés à partir de hurlement de loups.[1]
- La Raie-méduse est une espèce relativement proche de la Raie spectrale, elle-même très proche de la Raie pourpre. Ces trois sont aussi, dans une moindre mesure, proche de la Raie lapin. Cette information est confirmée par la Banque de données qui explique qu'elles partagent toutes un ancêtre commun.
- La Banque de données suggère aussi que les Raies pourpres et les Raies spectrales ont un ancêtre prédateur.
- Les Raies-méduses possèdent une chair extrêmement toxique et, de ce fait, ont peu de prédateurs naturels - une caractéristique partagée avec les autres espèces de raies et ayant probablement été développée par leur ancêtre commun.
- Les Raies-méduses préfèrent nager près du fond de l'océan. Cela pourrait suggérer qu'elles soit détritivores - qu'elles se nourrissent de débris organiques qui tombent au fond de l'océan. Cette hypothèse est soutenue par l'entrée de la Base de données du Spadefish.
Références
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